Digital tax
Dans un monde de plus en plus digital, EY s’emploie à relever les défis liés à la fiscalité, qu’il s’agisse d’interagir avec les administrations fiscales en ligne et les services électroniques des gouvernements, ou de planifier l’optimisation fiscale dans une économie numérique. L’objectif est de nous appuyer sur les technologies pour générer de la valeur, gérer les risques et améliorer l’efficacité.
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Aborder la révolution de la fiscalité numérique dans son ensemble
EY apporte sa vision holistique de cette révolution fiscale en prenant en compte l’efficacité de la fiscalité du numérique, les administrations fiscales numériques, les technologies de la fiscalité et le Big Data fiscal. Nous vous aidons à identifier les défis immédiats de votre fonction fiscale et à développer un modèle opérationnel perfectionné, adapté à l’ère numérique, avec un plan détaillé qui facilitera son intégration dans votre entreprise.
Notre époque connait des changements sans précédent, et le secteur des minerais et métaux ne peut y échapper. La révolution du numérique est mondiale.
Avec l’utilisation croissante des technologies par les autorités fiscales, le secteur doit se préparer à une surveillance rapprochée. Les entreprises du secteur des minerais et métaux doivent donc automatiser certaines fonctions de conformité fiscale pour répondre aux exigences croissantes de transparence des données.
Au cours de notre collaboration avec ce secteur, nous avons identifié trois tendances dans l’évolution des fonctions fiscales :
- mise en œuvre de solutions numériques pour les fonctions fiscales ;
- création d’une structure performante de gouvernance et gestion des risques ;
- création de systèmes de gestion des litiges et contestations.
Comment adapter les fonctions fiscales à ces tendances ?
Les services de fiscalité doivent faire toujours plus, avec moins de ressources, qu’il s’agisse de divulgation de données, de renforcement de la conformité ou du règlement d’un nombre croissant de litiges. Le digital est une partie de la solution. En automatisant les procédures de routine, les fiscalistes gagnent du temps et peuvent veiller à l’application des cadres stricts de gouvernance et de risques qui prennent en compte l’ensemble des conséquences commerciales et limitent le risque de litige.
Agir pour garder de l’avance
- Utiliser l’automatisation intelligente : presque tous les critères fiscaux peuvent être automatisés. Les entreprises peuvent ainsi commencer par appliquer des solutions peu élaborées et évoluer progressivement vers des tâches plus complexes. Les entreprises doivent déterminer quels sont les processus les plus répétitifs et chronophages, puis identifier ceux qui peuvent être automatisés.
- Acquérir ou développer de nouvelles compétences : le changement est d’une telle ampleur que la fonction fiscale va évoluer radicalement. Avec l’automatisation, les fiscalistes devront posséder des compétences technologiques pointues, pour à la fois déployer les systèmes automatisés et prendre les décisions subjectives qui s’imposeront.Ils devront aussi posséder de bonnes compétences en négociation et résolution de conflits pour gérer les risques et les litiges en matière de fiscalité.
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